Oui, la messe est dite, et moi ce triste impie,
De douleur sans répit répète vos dires,
Hume tant vos traces, se délecte encore
De cervoise seule, manquent vos « caprices »,
Si belle tendresse mais aucune larme
Ni même poésie si douce soit-elle
Vous ramènent ici, pourquoi, vous ma belle,
Des raisons bien connues avez abandonné
« Notre » inespérée, relation d'égarés,
Oh, comme je le suis, sans vous et vos « Monsieur »,
Parce que faute de mieux, le monde vous laisse
Partir sans même oser vous faire la demande
Simple de perdurer car votre présence
A jamais manquera à nous qui sommes là...